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Les dernières maisons médiévales de Paris

Les dernières habitations du Moyen Âge aujourd'hui visibles dans la capitale sont infimes et correspondent le plus souvent à la période tardive du gothique ou sont à considérer avec attention, le caractère médiéval n’étant pas ou plus attesté par l'étude archéologique.

Adrien Bostmambrun / historien



L'urbanisme parisien du haut Moyen Âge, depuis que la ville est décrétée résidence royale par Clovis en 507, reste mal connu ; tout juste sait-on que l’une des premières artères, ancêtre de la rue Saint-Germain-l’Auxerrois, apparaît vers 820, parallèlement à l'érection d'églises paléochrétiennes. L’actuelle rue Saint-Jacques, que prolonge au nord la rue Saint-Martin, a repris depuis l’époque romaine l’axe du cardo antique nord-sud.


Rapide aperçu du Paris médiéval

Si l'île de la Cité, fortifiée dès l'époque romaine, est le cœur de la ville de la à la fin de l'Antiquité, d'autres secteurs, jusqu'alors intégrés à la Lutèce romaine sont délaissés au cours du haut Moyen Âge et se muent en bourgades quasi autonomes : Saint-Germain-l'Auxerrois, Saint-Médard, Saint-Germain-des-Prés ou Saint-Marcel, attestés au xiie siècle. Au même siècle (précisément en 1137), les halles apparaissent sur le site qui porte aujourd'hui ce nom après s'être longtemps appelé « Champeaux ». Le pouvoir municipal donne des premiers signes d'existence vers 1140, suivi cinquante ans plus tard par l'installation d'une véritable administration royale (château du Louvre, palais de la Cité) ; en raison des soubresauts de la guerre de Cent Ans, cette dernière quitte la capitale et n'y reviendra de façon pérenne qu'au xvie siècle.

Le xiiie siècle voit l'affirmation du pouvoir bourgeois. Les métiers prennent de l'ampleur et commerces, auberges mais aussi maisons privées se dotent d'enseignes servant à les repérer. Autour de 1210, Philippe Auguste enserre la rive droite d'un long mur (renforcé en rive gauche un siècle et demi plus tard sous Charles V). Certaines artères de la ville sont pavées mais leur entretien met du temps à intervenir, tout comme l'apparition d'égouts, ainsi que l'éclairage public (autour de 1500).

Les rues, dont une liste est dressée au début du xive siècle, sont au nombre d’environ trois cents au milieu du Moyen Âge. Il existe quatre ponts, bondées d’habitations ; ils subissent les crues répétées (en 1197, 1206, 1236, 1280, 1326, 1414, 1442) et doivent être réparés sinon reconstruits. Les premiers quais, l'ancêtre du quai des Augustins, sur la rive droite, ne sont édifiés qu'en 1313 entre la tour de Nesle et le couvent des Grands Augustins. Suivront le quai de la Mégisserie en 1369, avant celui du Louvre sous François Ier.


Quelques célèbres maisons

Si les églises ou les ouvrages défensifs du Moyen Âge sont bien connus, les maisons des particuliers le sont nettement moins. Certes, les plus grandes − les structures étatiques − ne sont plus à décrire mais d'autres, bien plus modestes, sont connues. Toutes les citer serait fastidieux (les grands chroniqueurs du xve siècle comme Philippe de Commynes et Jean II Jouvenel des Ursins fournissent quelques informations ici et là). Rappelons juste pour commencer qu'au Moyen Âge qon construit majoritairement en bois et en torchis, laissant la pierre intégrale pour les bâtiments de prestige. La plupart des maisons, certes dotées de fondations en pierre pour être mieux à même de tenir face à l’humidité et aux intempéries, n'atteignent pas plus de trois niveaux. Beaucoup ont des façades étroites, conçues tout en profondeur, en raison de l'impôt payé selon la largeur de la façade.

Parmi les maisons les plus anciennement connues, on sait brièvement qu'en 1290 à l'emplacement de ce qui allait devenir le couvent des Billettes (rue des Archives, à l'est des Halles), un juif ayant blasphémé voit sa maison rasée. Fait de plus grande envergure, durant la révolte qu'il fomente en juillet 1357, Étienne Marcel implante la municipalité sur la place de Grève (plus tard « place de l'Hôtel de Ville ») dans la « maison aux piliers » reproduite par des miniatures du xve siècle. Trois ans plus tard, le futur Charles V, alors Dauphin, s'installe à l'extérieur de l'enceinte de Philippe Auguste dans le quartier Saint-Paul dans un ensemble d’hôtels réunis appelé hôtel Saint-Paul (rue Saint-Antoine, tout près de la Bastille, élevée peu après).

À l'hôtel Saint-Paul, Charles VI, successeur de Charles V, connaît en janvier 1393 l’un de ses nombreux accès de démence durant le fameux Bal des Ardents. Du même siècle, on connaît mieux grâce à des fouilles conduites dans la cour du Louvre en 1989 le manoir du gendre d'Étienne Marcel Pierre des Essarts (mort de la peste en 1349). Sous Louis XI, le médecin particulier du roi Jacques Coitier achète vers 1482 une propriété baptisée « L’éléphant » rue Saint-André-des-Arts, dans le quartier de la Monnaie (bâtisse démolie au xviiie siècle). Presque au même moment, en 1473, alors que l'imprimerie est introduite à Paris, elle prend ses quartiers dans la maison à l'enseigne du Soleil d'Or après avoir été un temps à la Sorbonne.


Que reste-t-il de ces maisons ?

À Paris comme dans tout le royaume de France, des arrêtés municipaux, parfois tardifs tel que celui de 1554, sont pris pour restreindre l'usage du bois vecteur d'incendie. Ces édits, pas toujours bien respectés, entraînent néanmoins la démolition de tout un ensemble de bâtisses. Sur quelque douze mille maisons (recensées pour l'année 1328 d'après les registres paroissiaux décomptant les foyers), bon nombre disparaissent. Seules celles qui ont des pans de bois recouverts d'un plâtre suffisamment épais peuvent être maintenues en l'état. Au xviie siècle, la hauteur des habitations sera règlementée à 16 m (8 toises).

Restrictions et aléas de l’histoire urbaine expliquent donc l’extrême rareté des maisons à pans de bois aujourd'hui visibles dans Paris. Le chamboulement haussmannien ne fera qu'ajouter à la disparition de tout ce patrimoine ancien. Comme vu précédemment avec l'exemple du manoir de Pierre des Essarts, l'archéologie parvient de temps à autres à faire la lumière sur ce très vieux passé. Les diverses fouilles conduites sous le parvis de Notre-Dame (vestiges aujourd'hui visibles dans le sous-sol archéologique aménagé dans les années 1980) ont révélé, en plus de sections du rempart gallo-romain, des sous-sols de maisons du Moyen Âge. Ces maisons étaient désignées depuis au moins le xiie siècle par des enseignes, l'Agnus dei et de Saint-Victor

Au 51 de la rue de Montmorency (perpendiculaire à la rue Saint-Martin), se dresse une façade sans artifice pour qui ne s'attarde pas devant mais qui, riche d'enseignement malgré tout, pourrait constituer la plus ancienne habitation parisienne : elle a été établie au tout début du xve siècle sur un terrain acheté au monastère Saint-Martin-des-Champs voisin et comptait parmi les nombreuses qui fit bâtir Nicolas Flamel, écrivain public, libraire de l'Université, bienfaiteur parisien mort en 1418 (sa dalle funéraire est exposée au musée de Cluny). Ce dernier avait notamment consacré une partie de sa fortune à la décoration de l'église Saint-Jacques-de-la-Boucherie. Quoique reformulée au tout début du xxe siècle, l'inscription en lettres gothiques visible au sommet des portes à angles droits du rez-de-chaussée précise notamment que la demeure « fu faicte en l'an de grace mil quatre cents et sept ». Cette maison dite « du Grand pignon » (pignon supprimé au xviiie siècle), conçue sur deux étages, logeait des ouvriers travaillant dans les jardins des alentours Les jambages des portes sont ornés de bas-reliefs avec, entre autres, un portrait du propriétaire et ses initiales.


Un Moyen Âge qui n’en est pas toujours

La tentation est parfois trop grande de voir des bâtiments médiévaux dans ce qui relève de structures d’époques ultérieures sinon carrément néo-médiévales, fruit de restaurations poussives chères au xixe siècle. Parmi ces dernières se signalent la restitution, pour les tours et les tourelles, des toits en forme de cône (dits poivrières).

Aux 11 et 13 de la rue François-Miron, à l'est de l'Hôtel de Ville de et de l'église Saint-Gervais, deux étroites façades à pignon arborent des pans de bois avec croix de saint André, un agencement en X que l'on rencontre le plus souvent à la toute fin du Moyen Âge. Ces pans de bois ne datent, en effet, « que » du xvie siècle. Ils ont été dégagés de leur crépis dans les années 1960. Dans le même secteur, rue des Barres, la belle maison à pans de bois (mais sans les croix de saint André), longtemps propriété de l'abbaye cistercienne de Maubuisson (Val-d'Oise), remonte aussi au xvie siècle. En revanche, plus au nord, la maison du 3 rue Volta (métro « Arts et métiers » 3e arrondissement), également à pans de bois mais plus large, remonte, elle, au milieu du xviie siècle alors qu’on la considérait il y a encore une quarantaine d'années comme étant du xiiie (une erreur de jugement qui lui a valu sa sauvegarde en 1914 alors qu'un alignement de façade envisageait sa démolition).

Pour en revenir à la rue Miron, si la maison d’Ourscamp, aux 44-46, présente deux étages en pierre du dernier tiers du xvie siècle, elle n'en abrite pas moins des structures sur cour en bois attestant d'un héritage médiéval et repose surtout sur un superbe cellier gothique de 190 m². Des années 1250, cette salle de forme légèrement trapézoïdale portée par des arcs ogivaux constitue un souvenir du temps où les lieux appartenaient à des Cisterciens, Ourscamp étant le nom d'une abbaye cistercienne située dans l'Oise. La maison placée à l'arrière a un temps reçu l'enseigne de l'Ours, en référence au nom Ourscamp. Les 44-46 rue Miron abritent aujourd'hui le siège de l'association « Sauvegarde et mise en valeur du Paris historique » qui après avoir fait le nécessaire pour lui épargner une destruction programmée en 1961 (dans le cadre de la destruction d'ilots insalubres), obtenu pour son entretien l'aide de plusieurs organismes d'État, la DRAC puis, récemment, la Mission Stéphane Bern ; son classement comme Monument historique date de 1966.

Notons que d'autres caves médiévales sont à découvrir dans Paris, au 68 rue François-Miron (début xiiie siècle, sous l'hôtel de Beauvais, elle aussi anciennement maison cistercienne), au 18 rue Laplace, au 62 rue des Lombards, etc.


Les premiers grands hôtels particuliers

Les maisons médiévales encore debout concernent surtout la fin de l'ère gothique, lorsque rayonne sur tout le royaume de France le « gothique flamboyant » (fin xve-début xvie siècle). Avec la fin de la guerre de Cent Ans, à la faveur d'un retour au calme et à la prospérité, seigneurs laïcs et grands prélats s'offrirent ou embellirent des hôtels particuliers pourvus de jardins sur cour. La plupart de ces hôtels étaient désignés par le nom de la ville où ces prélats avaient le titre d'évêques ou d'abbés (Rouen, Fécamp, Reims, Claivaux, Cluny, Molesmes, Vézelay...) et se trouvaient majoritairement en rive gauche, non loin de l’Université où quelques-uns de ces hommes d'Église avaient été formés. Paris a conservé l’hôtel des abbés de Cluny, celui des archevêques de Sens et la demeure d'un non-religieux, l'hôtel de Clisson qui a pris par le suite le nom de Soubise.

L’hôtel particulier de Cluny, musée national du Moyen Âge depuis 1843, se trouve au croisement des boulevards Saint-Michel et Saint-Germain. Il a été conservé par miracle, tout comme les hauts murs des thermes antiques accolés. Vers 1485, Jacques d'Amboise, abbé de Cluny fait reconstruire une demeure abbatiale déjà existante en la mettant au goût du jour. Organisé autour de deux cours, clos au sud par un muret crénelé, le bâtiment vaut tout autant que ce qu'il renferme (collections antiques et médiévales). Le style gothique, avec ses galeries ogivales du rez-de-chaussée, y est dominant, dans un ensemble qui évolue très progressivement vers la sensibilité Renaissance.

Comptant parmi les rares hôtels particuliers de cette époque implantés sur la rive droite, la maison parisienne où séjournaient les archevêques de Sens (dont dépendait l'évêché de Paris). Avec ses deux tours en encorbellement, la bâtisse a encore belle allure au bout de la rue de l'Hôtel de Ville, au croisement avec la rue du Figuier (3e arrondissement). Elle remonte, dans dans ses parties les plus anciennes, à l'action de l’archevêque Tristan de Salazar, entre 1475 et 1519 ; il est mort octogénaire cette année-là dans son hôtel tout juste achevé.

La Révolution brise les beaux bas-reliefs qui surmontaient les tympans des deux entrées. Au xixe siècle, elle connaît des modifications pour ne pas dire de nouvelles mutilations, surtout dans les locaux intérieurs, lorsqu'elle devient une manufacture avec des propriétaires peu soucieux de respecter la vieille maison originelle. Au xxe, sauvée par son statut de Monument historique, elle se trouve au cœur de l’un des îlots en décrépitude que veut raser la municipalité et voit ses abords directs fortement évoluer. Certaines de ses parties anciennes sont rénovées entre les années 1930 et 1960 et parfois quasiment reconstruites à l'identique.

De l’hôtel de Soubise (ou de Clisson) originel, édifié par Olivier de Clisson vers 1375, seule la porte gothique xive siècle, d'allure fortifiée, est conservée. Elle est visible au 58 de la rue des Archives (Marais) ; le reste du site est le fruit de maints aménagements ultérieurs, notamment lorsqu’il entra dans le giron de la famille de Guise au xvie siècle. L'utilisation de l'hôtel comme dépôt des Archives nationales dans les deux siècles qui suivirent la Révolution lui a épargné de graves dommages.

Ajoutons à ce patrimoine la tour Jean-Sans-Peur, au 20 rue Étienne Marcel (au nord-est de l’église Saint-Eustache). Elle a été élevée de 1409 à 1412. Dominée par des mâchicoulis eux-mêmes surmonté par une toiture néo-médiévale, elle assoit ses 27 m de hauteur sur un fragment de l’enceinte de Philippe Auguste. Le percement de la rue Étienne Marcel sous Napoléon III met davantage l'ouvrage en valeur. La tour est le dernier vestige de l’hôtel des ducs de Bourgogne, percé de belles fenêtres ogivales, d’aspect extérieur certes un peu sévère mais elle abrite en son sein un escalier à vis avec un plafond magnifiquement sculpté (formant un chêne étendant ses rameaux, éléments naturels symbolisant les plus grands ducs bourguignons).

On raconte sans aucune certitude que le dernier étage desservait la chambre du duc Jean sans Peur qui y séjournait lors de ses passages parisiens (lui qui avait pris toutes les dispositions pour être en sécurité dans ce perchoir devait mourir assassiné à l’extérieur, à Montereau près de Fontainebleau en 1419). L'appartement inférieur serait celui habité par son épouse, la duchesse Marguerite de Bavière. L’hôtel devient ensuite un bien de la couronne de France à la mort du dernier duc de Bourgogne, Charles le Téméraire, en 1477. Quasiment à l'abandon jusqu'au Second Empire, la tour revit aujourd'hui sous la forme d'un musée très animé (maquettes, copies de costumes d'époque, belle charpente médiévale d'origine, expositions régulières), ouvert les après-midis, du mercredi au dimanche.


D’autres exemples isolés

On se penchera sur plusieurs autres exemples à travers la capitale. À l’angle des rues Vieille-du-Temple et des Francs-Bourgeois (3e arrondissement), l’hôtel édifié vers 1510 pour Jean Herouet, trésorier de France du roi Louis XII, n’a gardé d’originelle qu'une jolie tourelle en encorbellement, ornée de belles accolades de style gothique flamboyant. La maison, dévastée par un bombardement en août 1944, a dû être réédifiée dans son allure d'époque dans les années 1970 mais la tour, par chance épargnée par l'attaque allemande, est quasiment restée en l’état.

Au niveau du 6 rue Gustave Geoffroy (13e arrondissement), on aperçoit une tour à cinq pans, de la fin xve-début xvie siècle, ponctuant l'aile nord d’un ensemble bâti vers 1450 par la famille Gobelins, célèbre teinturiers établis au bord de la Bièvre (de nos jours recouverte) ; la maison dite de la Reine Blanche, dont les différents encadrements de fenêtres témoignent de remaniements divers, se trouve à deux pas de la galerie des Gobelins.

De la ronde en encorbellement des années 1510, visible à l’angle de la rue Hautefeuille et de l’impasse du même nom (entre la rue Danton et le boulevard Saint-Michel), on évoquera, en plus de la forme ronde et massive, le culot ornementé oscillant entre gothique et Renaissance. D'autres tours en encorbellement appartiennent, quant à elles, à une époque légèrement ou clairement postérieure, comme celle du 21 rue Hautefeuille (du xviie siècle) ou celle à l'angle des rues Saint-Paul et des Lions-Saint-Paul ; près du quai des Célestins (fin xvie siècle)

Citons enfin, au 40 rue des Archives, près de l'hôtel de Sens évoqué plus haut, une bâtisse de la fin du xve siècle, en briques et percée de quelques croisées typiques. Cette maison dite « de Jacques Cœur » aurait plus vraisemblablement été élevée par l'un des enfants du célèbre argentier. Son parement de briques conçu sur un appareillage en pierre servant d'assise a été remis au jour à l'occasion d'un ravalement en 1971. Mais cette ancienneté tardo-médiévale est clairement atténuée voire masquée par les retouches successives : porte de style classique, ouvertures refaites (dont celles à croisées à meneaux qui avaient disparu sur les photographies d'il y a un siècle). Les lieux abritent aujourd'hui l'école maternelle des Archives.


Du gothique à la Renaissance

Le passage du dernier âge du gothique vers le courant artistique que l'on connaît sous le nom de Renaissance se traduit, en France et surtout en Italie, par l'emploi généralisé de fenêtres compartimentées en quatre et de plus en plus rectangulaires (c'est-dire en abandonnant l'accolade au sommet ainsi que les personnages allégoriques sculptés au bas des lignes saillantes, dites larmiers, placées au dessus des fenêtres). L'arc ogival lui-même évolue et retrouve peu à peu la forme en plein cintre chère à l'Antiquité. Rappelons que l'appellation « gothique », littéralement « digne des Goths », à savoir barbare, fut un terme péjoratif donné par les architectes italien du début du xvie siècle pour qualifier le style médiéval qu'ils voyaient inférieur aux formes gréco-romaines.

 
 
 

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